Les villes

L’introduction
La ville. Le phénomène de notre époque qui montre la richesse de l’état. Les maisons, les trottoirs, les rues, les magasins, les moyens de transport, les monuments historiques mais aussi les gens, la société, le travail, le chômage, la culture, les exhibitions et les problèmes. Tout cela vous pouvez trouver dans chaque ville. Voulez-vous en savoir plus ?
L’apparition des villes

C’est déjà très, très longtemps quand l’homme s’est décidé à fonder la ville. Les archéologues trouvent les preuves des villes existantes dans l’antiquité et qu’elles étaient construites du besoin de la société. Pour pouvoir fonder les villes on a dû terminer de chasser le gibier et commencer à cultiver la terre pour pouvoir nourrir la communauté. Cependant l’homme avait encore un grand besoin d’eau. Ainsi les premières villes étaient construites dans la proximité des sources d’eau courante là où la terre est plus fertile. Plus tard, les aqueducs ont résolu ce problème et on pouvait construire les villes loin de l’eau courante. La plus vielle ville qui existe jusqu’à nos jours est Jéricho fondé il y a à peu près 4000 ans. Pourtant nous connaissons des lettres les villes encore plus anciennes. Dans l’eposde de Gilgamesh on mentionne de la ville Ur. Selon les fouilles archéologiques nous savons qu’elle avait une surface de 5 km2 et était entourée par un rempart de 5 m de largeur et 9.5 km de longueur. Nous connaissons aussi quelque chose de Babylone. Cette ville était située à 90 km de Bagdad et était très riche. Dans la Bible il y a aussi de nombreuses mentions sur Jéricho, Babylone, Sodoma et Gomorrhe. Les principes de l’édification des villes y sont aussi formulés. Les philosophes aussi s’étudiaient des villes. Platon s’occupait de la grandeur optimale des villes et de la société, Socrate du système d’édification.
Nous connaissons deux systèmes.
Le premier est caractérisé par la précision. Les pattes de maisons sont carrées tout a son propre lieu. Il n’y a pas de place pour l’improvisation. Tout est simple et fonctionnel. Ce sont en majorité les villes modernes.
Le deuxième système est caractérisé par l’irrégularité. Les rues sont étroites et sinueuses, il y a aussi des rues aveugles. Tout semble être un grand chaos. Ce sont les villes les plus anciennes et arabes. Même si ça ne parait pas évident c’est très raisonnable parce que dans les rues sinueuses et aveugles, l’ennemie se perd très facilement. En plus il est plus facile de défendre une ville dans les rues étroites. Ces villes la ont souvent des catacombes où on cache de la nourriture.
Dans certaines villes qui étaient entourées par le rempart on trouvait un petit champ, outil en cas de siège.

Le développement
Pour un bon développement de la ville il fallait trouver une bonne place. Selon la position nous distinguons les quatre types.
1) La position défensive (sur les collines) - il était plus difficile de conquérir une ville sur une colline qu’une ville sur une plaine.
2) La position près des vues (Dans les temps dangereux, les commerçants devaient passer la nuit dans les villes, parce que le faire en dehors de la ville serait un très grand risque.
3) La position près d’une richesse naturelle, Ce qui apportait une richesse importante pour la ville.
4) Les villes fondées d’une autre raison que les précédents comme les villes modernes.
L’urbanisation
Grâce à la révolution technique nous connaissons des machines qui facilitaient le travail sur les champs alors le besoin de force humaine diminue. Les hommes sont plus libres et le déménagement dans les villes commence. Grâce à ces machines on peut produire plus de blé en conséquence plus de pain et aussi le transport à la destination est plus simple. La ville attire par le travail, la culture, l’amusement, l’éducation mais la grande densité d’habitants apporte aussi beaucoup de problèmes.
1) La criminalité. Nous distinguons deux types :
A) La criminalité personnelle.
L’agresseur connaît bien sa victime. Ce sont avant tout les accidents dans la famille, dans le travail etc. ainsi que les meurtres commandés.
B)La criminalité non-personnelle.
C’est le cas quand l’agresseur ne connaît pas sa victime. Il s’agit des cambriolages. La victime est sans importance pour l’attaquant. Il s’agit seulement de l’argent comme le moyen de subsistance. Ou bien l’agression accidentelle quand la victime est en mauvais temps sur mauvais lieu.
Il existe encore un type, semi-personnelle. En majorité il s’agit des guerres entre les gangs. Il suffit d’être un membre de l’un pour avoir les ennuis. Pour exemple à Los Angeles en 1993 861 meurtres étaient reliés avec les gangs.

2) Le vandalisme.
C’est le problème de toutes les grandes villes. Les jeunes se regroupent dans les bandes et ils passent beaucoup de temps ensemble. Ils pouvaient faire de la musique ou du sport et ce serrait sans problèmes. Pourtant parfois de tels groupes des jeunes peuvent apporter des problèmes. Après avoir picoler, ils flânent dans les rues et ils détruisent tout ce qu’ils voient. Cela pouvait provenir aussi des actions organisées comme par exemple à Seattle (1999), à Prague (2000) ou à Göteborg (2001).
Il existe encore un autre groupe, le vandalisme-graffiti.
On en trouve deux sortes d’images.
a) Les images décoratives. Le plus souvent à la banlieue où les murs sont frais-grises et les jeunes révoltent contre cela avec la couleur dans la main. Souvent les images sont très belles et on peut l’appeler de l’art dans les rues. Quelqu’un des graffiteurs peut le faire comme son travail.
b) La deuxième sorte sont seulement les signes simples qui sont utilisés comme la signature ou les images formées par les lettres qui indiquent le territoire des membres du gang.
3) Le transport dans les villes implique deux grandes difficultés:
a) Les embouteillages. Aux heures de pointe, le matin et le soir, les automobilistes qui vont au travail bouchent les routes qui deviennent ainsi non-passables. Cela a pour cause les retards des gens au travail et aussi le stress. Les gens sont plus nerveux et la qualité du travail diminue.
b) Le deuxième problème, la pollution de l’air, est encore plus grave parce qu’elle menace tous les habitants et les visiteurs de la ville. La source de la pollution provient des émissions de carburants (NOx, SO2, O3, CO, etc.). Il existe une corrélation entre les pics de pollution et la santé, avec les maladies mais hélas aussi avec la mortalité. C’est un problème très grave. Par exemple au Japon (mais aussi dans les autres pays) on peut voir les cyclistes avec une crêpe devant leur visage. Les usines, elles aussi polluent l’air d’une manière importante.

Le développement de l’urbanisation dans le monde
1975 2000
L’Europe 67.1% 75.1% de la population
L’Amérique du Sud 73.9% 77.4%“““““““““““““““
L’Amérique du Nord 61.3% 76.6%““““““““““““““
L’Asie 24.6% 37.7%““““““““““““““
L’Afrique 25.2% 37.3%“““““““““““““““
L’Australie 71.8% 70.2%“““““““““““““““

La psychologie
La ville est selon quelqu’un un paradis sur Terre en comparaison avec la vie dans les grottes. Cependant ce n’est pas gratuit. Dans les tribus anciennes vivent environ 80-120 membres. Chacun connaissait tous personnellement et quand quelqu’un étranger venait dans cette tribu il devient de temps en temps l’un d’eux. Mais ce n’est pas possible dans la ville comprenant plus d’un ou dix millions d’hommes. La réaction normale est en création de son propre tribu dans cette ville et les autres hommes n’existent pas pour vous. Vous faites comme s’ils n’étaient pas autour de vous et comme s’ils étaient les arbres dans le foret. Essayez par exemple de tomber par terre sur une rue à New York. Ca va durer au moins 5 minutes pour que le premier homme vous offre l’aide. La plu part de passants vous ignorera. Mais quand on tombait dans un village l’aide serait offert le plutôt possible.

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  10. květen 2008
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